Beissat, portraits au bord du périph’
La vie d’un village rythmée par les activités du camp militaire de La Courtine.
Magazine du plateau n°223 – février / mars 2015

À Beissat, on entend tous les jours les tirs du camp militaire. Les vitres des maisons en tremblent même parfois.
À Beissat, lorsque la D25 est fermée, on emprunte le «périph» pour aller au travail, acheter du pain, ou se rendre chez le médecin. À Beissat, on compte une trentaine d’habitants. Parmi ceux qui sont restés, il y a Marie-Rose, la doyenne du village, et Jean-Marie qui élève des vaches. Parmi ceux qui sont revenus, il y a Jojo, le frère du maire, et Pierrick qui à peine sorti des études, s’investit comme conseiller municipal…